Bien évidemment, le marché angevin n’échappe pas à cette conjoncture nationale.
Pour autant, il serait très imprudent de céder au défaitisme. Angers et son agglomération, quand on les compare avec leurs voisines ou leurs équivalentes, ne s’en sortent pas si mal et restent attractives. La ville compte même une vacance commerciale parmi les plus faibles de France. Quand un local se libère dans une rue commerçante, il suscite l’intérêt de nouveaux porteurs de projets, de belles affaires changent de main, le marché et l’activité se maintiennent en dépit des vents contraires de l’économie.
Angers a su tirer profit de son boom économique d’après-covid. En cinq ans, elle a changé de visage et elle a su capitaliser sur son attractivité.
2026 sera, sans doute, une année de transition. Nous ne sommes plus, c’est sûr, dans l’euphorie des années 2021 et 2022, mais nous sommes très au-dessus de ce que nous avons connu entre 2015 et 2020. Et, surtout, la ville est prête à prendre en marche la prochaine reprise économique quand elle se présentera.
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